Cow Love, c’est une imperfection…
… le coin absurde où cohabitent la haute couture sportive, le goût aigre du lait, les chansons qui ne seront jamais des tubes, les fleurs en plastique et le caprice d’un amour. Un jeu d’enfant d’une schizophrénie écœurante, le côté ardent de plus belles obsessions : la stupidité chronique, le plaisir de l’imperfection.